Dialogues

1. Après avoir assisté à la cinématique Opération de secours.

Siorge : Une grosse légume de Mor Ardain m'a commandé des tonnes de meubles, et j'ai plus une seconde à moi.

Il faut vous dire que je ne travaille que sur commande.

Je n'utilise que du bois gormottois de première qualité pour réaliser les rêves boisés les plus fous de mes clients.

Mais... C'est la première fois que je vous vois par ici. Vous faites du tourisme ?

Rex : Ouai.

Siorge : Vous n'auriez pas vu mon fils Pawli par hasard ?

Rex : Euh, non.

Siorge : Ah bon... Non, ce n'est pas grave, mais à l'heure qu'il est, il devrait être à la maison depuis longtemps.

Rex : Comment ça ?

Siorge : Je lui ai demandé de faire une course il y a un petit moment, et il n'est toujours pas rentré.

On sait ce que c'est, les gamins... Il a dû se laisser distraire en route...

Mais c'est plus fort que moi, je m'inquiète.

J'ai essayé de négocier un délai avec notre client ardainien en attendant, mais il reste intraitable.

Il va même plus loin : il m'a promis les foudres de ses avocats si je ne livre pas dans les temps... Je suis coincé ici.

C'est triste à dire, mais pour peu qu'ils soient dans leur bon droit, les gens en oublient l'humanité la plus élémentaire.

Ah pardon. Voilà que ça me reprend... Ne faites pas attention, j'ai tendance à radoter devant les voyageurs.

Pyra : Apportons notre aide, Rex !

Rex : Et comment.

Siorge : Oh ? Non, je ne peux quand même pas vous demander de...

Bon... Si vous insistez... Merci.

Mon fils Pawli se dirigeait vers l'arbre-guide, je crois...

Pourvu qu'il ne lui soit rien arrivé.

2. Après avoir aidé Pawli, pendant la quête Un charpentier inquiet.

Siorge : Mon petit Pawli est enfin rentré !

Il m'a dit que vous l'aviez secouru alors que de lâches monstres s'en prenaient à lui ?

Et que, dans la foulée, vous avez récolté le lierre discorde dont j'avais besoin...

Merci mille fois.

Rex : On dirait que tout est réglé.

Siorge : Tout irait pour le mieux...

Rex : Quelque chose ne va pas ?

Siorge : Si seulement j'avais encore du bois de noyer gormottois... Impossible d'honorer ma commande sans cela.

Je pensais envoyer Pawli au campement nopon pour en chercher, mais...

Sa cheville est toujours dans un sale état et le docteur est formel : repos total pour quelque temps.

Alors, j'ai demandé de l'aide autour de moi, mais... les volontaires ne courent pas les rues pour aller voir les Nopons.

Je me vois obligé de fermer boutique pour aller le chercher moi-même...

Rex : Je m'en occupe !

Siorge : Comment ? Non, voyons, vous avez déjà retrouvé mon petit Pawli, je ne peux pas vous demander...

Rex : Pas d'inquiétude.

Siorge : Bon... Puisque vous insistez, j'accepte.

Merci encore.

Le campement nopon se trouve dans la plaine Garenti, juste à côté de l'arbre-guide.

Vous y trouverez un Nopon répondant au nom de Mokumoku. Achetez-lui trois planches de bois de noyer gormottois.

Rex : Compris !

Siorge : Il s'y connais en bois, il faut lui laisser ça... Par contre, c'est un petit roublard, je préfère vous prévenir.

Enfin... Il me faut ce bois, alors je compte sur vous.

3. Après avoir récupéré trois planches de noyer gormottois, pendant la quête Un charpentier inquiet.

Ooh ! Vous êtes drôlement chargés ! Merci d'avoir traîné tout ça jusqu'ici !

Non seulement je vais réaliser les plus beaux meubles qu'ait vus Gormott, mais je vais même les livrer à temps !

J'avais bien envie d'envoyer ce vilain Ardainien arrogant sur les roses, mais...

Les clients désagréables sont des clients comme les autres, et j'ai ma conscience professionnelle.

Aucun artisan de Torigoth ne bâclerait son travail simplement parceque le client ne lui revient pas.

Merci beaucoup, chers amis. Je vous suis redevable.

Si vous n'aviez pas été là... qui sait ce qui serait advenu ?

Si un jour, vous décidez de poser votre baluchon, appelez-moi. Je me ferais une joie de vous fabriquer un buffet !

4. Après avoir terminé la quête Un charpentier inquiet.

Merci pour votre dur labeur ! J'ai pu fabriquer de bien beaux meubles grâce à vous !

Je ne pense pas que mes estimés clients ardainiens trouveront à se plaindre, dorénavant.

Mon fils a aussi appris une bonne leçon. Il fait plus attention à présent, vous pouvez me croire !